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Bouclier fiscal : remettre à plat d’urgence la fiscalité des très hauts revenus !
31/03/2010 17:34
Dans un communiqué de presse, DLR renouvelle son hostilité au principe même du bouclier fiscal et appelle, dans un évident souci de justice, à une refonte de la fiscalité des très hauts revenus.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Les seules bonnes décisions de l’UMP sont des décisions de recul et de retrait
S’il est évident qu’avec la crise le bouclier fiscal est devenu encore plus choquant, exemptant les plus hauts revenus de tout effort fiscal et social supplémentaire, il n’en reste pas moins que son principe est intrinsèquement injuste.
C’est pourquoi dès juillet 2007 j’ai refusé de voter la disposition aggravant le bouclier fiscal.
En effet, les niches fiscales dont bénéficient quelques centaines de privilégiés - moins de 20000 personnes - leur permettent en réalité de conserver bien plus que 50% de leur revenu...
C’est donc à une remise à plat générale de l’imposition des hauts revenus qu’il faut procéder, par :
la suppression du bouclier fiscal,
l’exclusion du calcul de l’ISF de la résidence principale,
la création d’une nouvelle tranche de l’impôt sur le revenu (à 45%) pour les plus hauts revenus,
le plafonnement des niches fiscales,
l’instauration d’un "plancher fiscal" pour empêcher que les exonérations et les niches fiscales ne dispensent complètement certains contribuables de payer l’impôt sur le revenu.
Mais au-delà du bouclier fiscal, ce qui est inquiétant pour notre pays est que les seules bonnes décisions de l’UMP sont aujourd’hui des décisions de recul et de retrait. Le parti majoritaire ne marque des points qu’en détricotant les réformes qu’il a laborieusement ficelées ces 3 dernières années.
Je me réjouis donc que l’UMP me donne raison et valide les positions de Debout la République : retrait de la taxe carbone ne frappant que les plus modestes, contestation croissante du bouclier fiscal injuste et épargnant les plus privilégiés, euro trop cher, etc.
Néanmoins, il est dommage que ces décisions ne soient prises qu’à rebours de ce que le Président de la République et ses conseillers de palais ont imposé depuis 3 ans.
Il est donc plus que jamais nécessaire que la droite républicaine et sociale continue de faire entendre sa voix grâce à Debout la République, le seul parti gaulliste qui présentera des candidats dans l’ensemble des cantons renouvelables en 2011.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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Colonies : Israël sûr de lui et dominateur, encore et toujours
31/03/2010 17:21
Ayant été agressé plusieurs fois, il est normal qu’Israël cherche à se protéger. En revanche, absolument rien ne justifie la politique colonialiste qu’Israël poursuit depuis des décennies. L’administration Obama multiplie les avertissements depuis cet été, pour l’instant, sans conséquence.
Le scandale des colonies
Rien, absolument rien, ne justifie qu’Israël construise des colonies en territoire palestinien. Pourtant, en quelques décennies, l’Etat hébreu a installé plus de deux cent mille colons dans des territoires qui ne lui appartiennent pas. On assiste à une situation surréaliste où Israël envahit petit à petit et de manière pernicieuse la Palestine en la colonisant malgré la désapprobation de toute la communauté internationale, sans pour autant avoir trouvé le moindre argument pour.
Pourtant, une telle politique revient à bloquer le processus de paix au Proche-Orient car comment espérer que les Palestiniens ne réagissent pas devant cette invasion sournoise ? Au final, il faut se demander aujourd’hui si l’Etat Palestinien ne se comporte pas de manière plus responsable que l’Etat hébreu. Le retrait de Gaza a pu donner le change pendant quelques temps, mais la réalité est qu’Israël ne permet pas à la Palestine d’avoir un véritable Etat et de développer son économie.
Israël continue d’étouffer la Palestine et les Palestiniens en mitant leur territoire (voir carte) d’un mur qui s’enfonce largement au-delà de la frontière, de colonies et de routes destinées à relier ces différentes colonies. Pire, en contrôlant l’ensemble des transports, Israël peut du jour au lendemain isoler telle ou telle partie. Bref, l’Etat Palestinien n’est qu’un Etat fantoche, ce qui l’affaiblit et attise légitimement la colère des Palestiniens, dont il est difficile de ne pas comprendre la révolte…
Passer de la parole aux actes
Depuis des décennies, la communauté internationale a laissé faire. Il est vrai que dans un premier temps, Israël a été victime d’agressions de ses voisins, ce qui avait poussé les pays occidentaux à soutenir Tel-Aviv. Mais aujourd’hui, c’est bien Israël qui n’est pas dans son bon droit. L’administration Obama a eu le courage de renverser la politique étasunienne, provoquant des tensions grandissantes entre Israël et les Etats-Unis qui pourraient amener à une révision radicale de la politique de Washington.
Il faut dire qu’il est grand temps que les pays occidentaux utilisent les moyens de pression dont ils disposent pour forcer Israël à changer sa politique. Les belles paroles n’ayant aucune efficacité, il faut mettre Israël devant ses responsabilités. Il n’est pas acceptable que Tel Aviv mine l’Etat Palestinien de la sorte et empêche tout compromis viable entre les deux peuples. Les pays occidentaux doivent recourir à de vraies sanctions (cessation des relations diplomatiques, restrictions économiques).
Le Général de Gaulle avait bien raison quand il parlait d’Israël comme d’un pays « sûr de lui et dominateur ». Sa politique de colonisation est inacceptable et il est plus que temps que les pays occidentaux le lui fassent véritablement sentir.
Laurent Pinsolle
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Un reclassement à… 137€ nets !
30/03/2010 17:13
De retour d’un repos bien mérité, à l’issue d’une campagne régionale éreintante, j’ouvre le journal pour découvrir la nouvelle « bombe » de l’actualité économique et sociale : un plan de reclassement proposé aux salariés de Continental-Clairoix, leur offrant des postes en Tunisie contre une rémunération mensuelle nette de… 137€ !
Comme toujours, on entend la direction se dédouaner en affirmant qu’il s’agit d’une obligation légale, laquelle ne présumerait en rien des efforts par ailleurs déployés par elle pour reclasser en France les salariés laissés sur le carreau. Comme toujours, on entend en filigrane le vœu de certains de supprimer cette obligation, qui a pourtant le mérite de mettre à nu la politique de délocalisation de la plupart des entreprises de taille internationale.
Les patrons-voyous existent, hélas, et il est évident que le cadre économique actuel leur offre une prime au cynisme, encourageant avec la dernière vilénie toute une série d’attitudes de mensonge, de dissimulation, d’enrichissement indu, voire de triche. Pourtant, ce serait une erreur d’incriminer l’ensemble des chefs d’entreprises qui, dans leur immense majorité, subissent eux aussi cette mondialisation-clochardisation et en reviennent bien souvent après avoir fait l’expérience d’une production sous les tropiques pleine de mauvaises surprises.
Au vrai, on ne gagnera pas la bataille cruciale du redressement économique français sans eux, encore moins contre eux. C’est bel et bien aux dérives du cadre économique global qu’il faut s’attaquer : l’euro cher, la prime donnée à ceux qui produisent ailleurs pour réimporter ensuite (avec bien souvent des standards sociaux et environnementaux catastrophiques), la toute-puissance donnée à un secteur bancaire qui se comporte en oligopole, écrasant particuliers et entreprises, mais aussi l’aberration de charges sociales pesant sur la production domestique, la démission de l’Etat face à une politique de la concurrence bruxelloise dogmatique, la capitulation des élites face à une Allemagne qui, en comprimant sa demande et en maintenant la monnaie unique à un niveau trop élevé, veut le beurre et l’argent du beurre…
Toutes ces questions centrales seront abordées lors de notre Convention nationale, le samedi 10 avril à Paris. Avec des économistes comme Jean-Luc Gréau et le témoignage de plusieurs chefs d’entreprises engagés dans la mondialisation, DLR présentera des solutions franches et courageuses pour enfin renouer avec le plein-emploi et la croissance.
Notre rassemblement gaulliste confirme ainsi sa vocation de briseur de tabous. Car en 2012 ne l’oublions pas, plus qu’à départager des candidat(e)s, le vrai enjeu consistera avant tout à choisir un projet capable de résoudre à la racine les problèmes de la France et des Français.
NDA
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Ouverture des frontières : jusqu’où ?
29/03/2010 17:49

La Belgique, nouvel eldorado de Serbes et Macédoniens trompés par les trafiquants
Après une hésitation, il livre son prénom : Idriz. Il a une trentaine d'années et vient, dit-il, de Lipkovo, dans le nord de l'ex-République yougoslave de Macédoine. Une région albanophone particulièrement déshéritée que ce petit homme timide a tenté de fuir pour ce qu'on lui a présenté comme un eldorado : la Belgique.
"On" ? "Des amis", affirme-t-il. "Des facilitateurs", corrige Jean-Louis De Brouwer, haut fonctionnaire de la Commission européenne qui s'est rendu sur place récemment. "Un réseau de trafiquants albanais", dit plus clairement un expert du Commissariat belge aux réfugiés et apatrides (CGRA).
Cette instance chargée de l'examen des demandes d'asile a vu arriver, depuis deux mois, quelque 800 personnes venues de villages albanophones de Macédoine et du sud de la Serbie. En huit semaines, les services belges ont enregistré plus de demandes de personnes issues de ces deux pays que depuis trois ans. Le pic a été atteint fin février. Sur place, on évoque des villages vidés de leurs habitants et, en réalité, des milliers de départs.
Il s'agit d'une conséquence inattendue, mais évidente, de la levée de l'obligation de visa pour les Macédoniens et les Serbes, instituée le 21 décembre 2009 par les autorités européennes. Cette décision est une étape dans un éventuel processus d'adhésion. L'Albanie pourrait être la prochaine bénéficiaire. Catherine Ashton, la haute représentante pour la politique étrangère, a évoqué récemment le lancement d'une négociation avec le Kosovo, même si cinq Etats de l'Union n'ont pas reconnu son indépendance, proclamée en 2008.
En Macédoine et en Serbie, des "agences de voyages" ont expliqué qu'un passeport suffisait pour décrocher, en Belgique, un titre de séjour, un travail ou, à défaut, une aide sociale et un logement. En tout cas, une chambre : Fedasil, le service officiel d'accueil, loue des chambres d'hôtel pour répondre à l'afflux de réfugiés. Le gouvernement multiplie les lieux d'hébergement et il vient de se voir condamné à payer de lourdes astreintes aux personnes qui sont laissées dans la rue.
CLANDESTINITÉ OU RETOUR
Idriz n'en dira pas plus sur sa propre histoire. C'est un jeune Guinéen, un compagnon d'infortune auquel il s'est confié, qui raconte son voyage en autocar et l'arrivée au 59 bis de la chaussée d'Anvers, l'annexe de l'Office des étrangers, qui enregistre les demandes. Là, il s'est sans doute très vite rendu compte qu'il n'aurait droit à rien d'autre qu'à un séjour de trois mois. Il a invoqué les difficultés économiques et le chômage qui frappe 40 % de ses compatriotes mais cela n'a, évidemment, servi à rien.
Il aura donc investi, en pure perte, quelque 200 euros dans ce voyage. Dans des villages, certains ont vendu le peu qu'ils possédaient, une tête de bétail ou des pièces d'or, pour se retrouver dans le froid glacial du quartier de la gare du Nord, à Bruxelles. Leurs accompagnateurs les auraient déposés devant l'Office des étrangers.
Aujourd'hui, Idriz a deux possibilités : se fondre dans la clandestinité en rejoignant l'importante diaspora albanaise, ou monter dans l'un des autobus affrétés par les autorités belges. Deux convois ont déjà pris la route des Balkans.
Craignant une extension du phénomène, le gouvernement d'Yves Leterme a sorti les grands moyens. Le premier ministre belge a rencontré, le 8 mars, son homologue Nicola Gruevski, à Skopje. Melchior Wathelet, secrétaire d'Etat à la politique de migration et d'asile, s'est rendu dans les zones albanophones de Macédoine et de Serbie. "La situation y est très difficile, mais les autorités locales ont bien collaboré", dit-il. Des "agences de voyages" auraient déjà été fermées.
Aux dernières nouvelles, les "tour-opérateurs" auraient réorganisé leurs activités : ils privilégieraient désormais la Suède.
Jean-Pierre Stroobants
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Installation du conseil régional
26/03/2010 22:56
Daniel Percheron a été élu à nouveaux Président du Conseil Régional du Nord/Pas de Calais avec 73 voix. Les 15 vices – présidences sont accordées à : Bernard Roman, Myriam Cau, Pierre de Saintignon, Catherine Génisson, Philippe Kémel, Jean Marie Alexandre, Delphine Bataille, Emmanuel Cau, Madjouline Sbai, Alain Wacheux, Cécile Bourdon, Wulfran Despicht, Christine Batteux, Sandrine Rousseaux, Jean Louis Robillard.
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